« En juxtaposant de manière inextricable des extraits de films, des morceaux d'entretiens avec le metteur en scène et ses collaborateurs les plus réguliers, des plans qui vont chercher des équivalents géographiques, des correspondances plastiques ou humaines avec l'œuvre, il (Georges Bensoussan) a presque réussi à se rendre invisible - il a fait quelque chose qui est comme un petit film de Fassbinder lui-même, comme si le cinéaste avait fait là son autoportrait. » Louis Skorecki, « Cahiers du cinéma », n. 322, avril 1981